Intérêt et Principal/Texte Entier
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작성자 Gisele 댓글 0건 조회 19회 작성일 24-12-08 08:10본문
Theodore tournant Aristote, met tousjours Asio pour Scops. Les boules, tournant avec moins de rapidité, se rapprochent l’une de l’autre, et, par suite du mouvement des leviers auxquels elles sont liées, la soupape Z s’ouvre davantage et laisse pénétrer dans le corps de pompe une plus grande quantité de vapeur, ce qui accélère aussitôt les mouvements du piston. La géométrie peut, dans certains cas, prêter son secours à l’artiste ; mais, sous aucun prétexte, elle ne doit entraver la spontanéité de son imagination, ni surtout suppléer à l’inspiration par une espèce de jeu de patience. Voici, en effet, ce que dit Jean Rey dans un opuscule publié à Bazas, en 1630, sous ce titre : Essays sur la recherche de la cause pour laquelle l’estain et le plomb augmentent de poids quand on les calcine. Bien au contraire ; c’est parce que le consommateur paye l’Intérêt de ce capital, sous forme de rigole, qu’il ne paye pas l’épuisement, beaucoup plus dispendieux, à force de bras. Post was created by GSA Content Generator DEMO
Ainsi non-seulement on peut s’appuyer, pour en démontrer les avantages, sur ce que le fermier qui fait naitre, exerçant une industrie limitée, en apprend facilement le mécanisme, en connaît les côtés faibles et la dirige en conséquence, - sur ce que, n’ayant à soigner que des jumens et de jeunes poulains, il n’a pas à craindre les accidens qu’occasionne le mélange dans la même ferme des mâles et des femelles, - mais surtout sur ce qu’il emploie le produit de ses prairies naturelles et de ses pâturages de la façon la plus productive en nourrissant des jumens poulinières et de très jeunes poulains. Il tire plus de profit de la bonne nourriture dont il peut disposer en la donnant à de jeunes animaux qui font les travaux de sa ferme qu’en la distribuant à des jumens poulinières qui n’en seraient ni meilleures nourrices ni plus fécondes. On a vu qu’une des grandes charges de la production des chevaux de selle, c’est la nécessité de conserver les poulains jusqu’à l’âge de quatre ou cinq ans sans les faire travailler, ou en ne leur faisant faire que des travaux peu pénibles et partant improductifs
La Beauce, où les chevaux acquièrent les solides qualités qui ont donné au cheval percheron une réputation universelle, livre au commerce, après les avoir gardés dix-huit mois ou deux ans, trois fois plus de chevaux que si elle en faisait naître, et ces chevaux, bien nourris, dressés au travail, ont des qualités qu’ils n’auraient jamais acquises, s’ils étaient restés dans leur pays d’origine, le Poitou, la Bretagne, la Picardie, la Franche-Comté. De même le cultivateur de nos riches plateaux de la Beauce, du Berry, de la Bourgogne, de la Champagne, fait économiquement de bons chevaux, non-seulement parce qu’il est devenu habile dans le choix des poulains qu’il achète et soigneux de tout ce qui concerne les conditions hygiéniques qui leur conviennent, mais parce que le sol qu’il cultive, les excellens fourrages et les bons grains qu’il récolte sont particulièrement propres à favoriser le développement des qualités que l’on recherche dans un bon cheval de service. Mais la production se règle sur la consommation : or, celle-ci n’étant plus entravée, comme sous le régime de l’intérêt, par l’usure, c’est-à-dire par la vente à terme, par le loyer des instruments de travail, et les charges qui en résultent, surtout par le préjugé de la monnaie, devenue improductive et même inutile : il s’ensuit que B, comme tous les autres travailleurs, peut non-seulement racheter, à une fraction minime près, son propre produit, mais donner carrière à son énergie, à sa puissance productive sans crainte de créer des non-valeurs ou d’amener l’avilissement des prix, avec l’espoir légitimement fondé, au contraire, de se compenser, par ce surcroît de production et d’échange, de la faible rétribution qu’il paye à la Banque, pour la négociation de ses valeurs. This content has been w ri tten by G SA Con tent Generator D emoversion
Fame, f. pen. ou bien Famée, car les deux se trouuent és anciens escrits, C'est renommée, & vient de ce mot Latin Fáma. MANUFACTURES. - On entend par ce mot le travail qui approprie les produits bruts à la consommation ; travail immense qui embrasse tout ce qui est nécessaire, utile et agréable à une nombreuse population nationale, et aux populations étrangères encore plus nombreuses. « Le troisième moyen de faire monter l’eau est par l’aide du feu, dont il peut faire diverses Machines industrielles de seconde main ; j’en donnerai ici la démonstration d’une. Quelques milliers de francs, quelques centaines de milliers de francs au maximum, un bailleur de fonds ou une commandite suffiraient à l’usine qui n’était guère qu’un atelier et que l’on vouait à un seul objet ; mais des millions ne seraient pas de trop pour l’usine qui, comme A, B et G, s’étend à dix ou quinze ateliers, embrassant toute la production, toute la fabrication du fer ou de l’acier ; or, ces millions, dont on ne saurait se passer, le meilleur moyen de les avoir, c’était de les demander à tout le monde par une émission d’actions. Non seulement le Service géographique produisit, à plusieurs dizaines de millions, une cartographie renouvelée et répartie journellement dans tous les corps de troupes, mais on lui confia, quand il ne les inventa pas, de nombreux organes qui firent de lui ni plus ni moins que les yeux de l’armée, avec un champ visuel de plus de six cents kilomètres. This artic le w as generated by GSA Conte nt Generator Demov ersion
Ainsi non-seulement on peut s’appuyer, pour en démontrer les avantages, sur ce que le fermier qui fait naitre, exerçant une industrie limitée, en apprend facilement le mécanisme, en connaît les côtés faibles et la dirige en conséquence, - sur ce que, n’ayant à soigner que des jumens et de jeunes poulains, il n’a pas à craindre les accidens qu’occasionne le mélange dans la même ferme des mâles et des femelles, - mais surtout sur ce qu’il emploie le produit de ses prairies naturelles et de ses pâturages de la façon la plus productive en nourrissant des jumens poulinières et de très jeunes poulains. Il tire plus de profit de la bonne nourriture dont il peut disposer en la donnant à de jeunes animaux qui font les travaux de sa ferme qu’en la distribuant à des jumens poulinières qui n’en seraient ni meilleures nourrices ni plus fécondes. On a vu qu’une des grandes charges de la production des chevaux de selle, c’est la nécessité de conserver les poulains jusqu’à l’âge de quatre ou cinq ans sans les faire travailler, ou en ne leur faisant faire que des travaux peu pénibles et partant improductifs
La Beauce, où les chevaux acquièrent les solides qualités qui ont donné au cheval percheron une réputation universelle, livre au commerce, après les avoir gardés dix-huit mois ou deux ans, trois fois plus de chevaux que si elle en faisait naître, et ces chevaux, bien nourris, dressés au travail, ont des qualités qu’ils n’auraient jamais acquises, s’ils étaient restés dans leur pays d’origine, le Poitou, la Bretagne, la Picardie, la Franche-Comté. De même le cultivateur de nos riches plateaux de la Beauce, du Berry, de la Bourgogne, de la Champagne, fait économiquement de bons chevaux, non-seulement parce qu’il est devenu habile dans le choix des poulains qu’il achète et soigneux de tout ce qui concerne les conditions hygiéniques qui leur conviennent, mais parce que le sol qu’il cultive, les excellens fourrages et les bons grains qu’il récolte sont particulièrement propres à favoriser le développement des qualités que l’on recherche dans un bon cheval de service. Mais la production se règle sur la consommation : or, celle-ci n’étant plus entravée, comme sous le régime de l’intérêt, par l’usure, c’est-à-dire par la vente à terme, par le loyer des instruments de travail, et les charges qui en résultent, surtout par le préjugé de la monnaie, devenue improductive et même inutile : il s’ensuit que B, comme tous les autres travailleurs, peut non-seulement racheter, à une fraction minime près, son propre produit, mais donner carrière à son énergie, à sa puissance productive sans crainte de créer des non-valeurs ou d’amener l’avilissement des prix, avec l’espoir légitimement fondé, au contraire, de se compenser, par ce surcroît de production et d’échange, de la faible rétribution qu’il paye à la Banque, pour la négociation de ses valeurs. This content has been w ri tten by G SA Con tent Generator D emoversion
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